The action sequences are as suspenseful as any in the director's career; the most impressive scenes, though, may be the slower ones, which consider how humanity might evolve after driving itself to near extinction.
A beautiful film. Rich, compelling, well-written, and emotionally powerful, yet also funny and lighthearted at just the right times. The animation is incredible, the soundtrack is great, the characters are fantastic, it has great themes and executes them beautifully... and there's a sense of magic and beauty that permeates throughout the whole thing. A masterpiece.
10/10.
The film is good-hearted, energetic, and full of Ghibli's characteristically beautiful hand-rendered animation, but it's also lightweight and hyper, with none of Miyazaki's more resonant themes.
Nausicaa of the Valley of the Wind breathes life into its animation and characters. A cleverly crafted world that deals with serious and heartbreaking issues in a surprisingly epic, thematic, and unabashed way. Miyazaki's environmental masterpiece showcases the power, brilliance, and affection of its protagonist.
Encore un autre exemple de la japanimation niaise à souhait (et jusqu’à plus soif) avec ce ‘Nausicaa’, en l’occurrence une cocotte qu’on dirait très inspirée de la petite conne geignarde (how dare you…) nordique à tronche **** consanguine congénitale… sauf que le ‘film’ remonte aux années 80 ! bien avant l’avènement de la débile (internationale)…
Le monde a été ravagé (par une guerre menée par les hommes méchants etc) et la forêt est devenue toxique… Et le film est d’emblée aussi con que la petite conne avec son agenda écolo-con d’écolo-conne : on l’imagine en train de dire (how dare you ?!!) à chaque dialogue… et d’ailleurs, c’est presque le cas…Ce n’est pas tout, car les insectes sont devenus géants… et très agressifs…! quel mauvais goût, d’ailleurs, que c’est crabeurk et super dégueu, sérieux, tous ces cloportes géants ! mais heureusement (?) la petite conne peut leur parler alors qu’il faudrait a contrario passer un sacré coup de baygon vert et de baygon rouge : ‘atomisez-moi ce nid, Rico !’ (Starship Troopers, 1997) parce qu’avec les insectes, c’est comme ça qu’il faut faire, bordel de merde !
Quoi qu’il en soit, cette mauvaise fable (et mauvaise farce) dure presque deux plombes interminables (et minables) et nous gave très régulièrement avec ses conneries écrites par des écolo-cons pleurnichards ridicules et consternants : c’est à chier !