Hopefulness bears "Daryl Dixon" aloft, to the point that you may pray he doesn't get his wish to go back home. No matter where he is, things are never going to back to the same as before. But this side trip reminds him and us that no matter what disasters befall us, life can be good again.
As ridiculous as the "Daryl in Paris" logline sounds, is solid as heck. The story is both foreign and familiar, both unsettling and natural. Daryl having misadventures in a land so far away is fun in its own right but then watching him discover that this is where his true heart might belong is a deeper level of delight.
AMC’s spin-off is capable enough, and the French setting provides a somewhat distinct feel... As a whole, however, Daryl Dixon could use a little more panache.
AMC is right to worry about this upstart horror series cannibalizing its accolades and ratings. Especially if it keeps churning out puzzling dross like Daryl Dixon.
ENG : A Spinoff from My Favorite Character in My Favorite TV Series. The first episode was very good, I hope the other episodes will be good too.
TR : Favori TV Dizimdeki Favori Karakterimden Bir Yan Ürün. İlk bölüm çok güzeldi umarım diğer bölümler de güzel olur.
Series was beautifully shot, but overall the story was just okay. Clémence Poésy (Isabelle) was a nice addition to the Walking Dead universe, but she wasn’t enough to hold my interest.
I'm French and was intrigued, having given up on TWD in what it feels 30 years ago or so. However, the atrocious acting and dialogues, the pitiful lack of effort in decor and make up makes this show unwatchable after 5 minutes (where we see Daryl going in Les Baux de Provence and what looks like Sète). The plot had potential (A riff on The Last of Us) but alas it is misconstrued.
Une saison additionnelle centrée sur l’un des personnages de Walking deg, la célèbre série de merde tirée elle-même de la bd de merde originale… ce qui montre et démontre (comme de coutume) qu’avec de la merde, on peut faire… que de la merde !On retrouve donc l’alcoolique à tronche de clodo, Norman J’ai bu, qui s’est retrouvé à l’insu de son plein gré chez les fromages qui puent… ces derniers parlent tous le yankee, c’est impressionnant ! mais comme on reste -quand même- un pays arriéré, les seules armes qu’on a, ce sont des mousquets (!) ou des fusils de la guerre 40 !
C’est produit par Paramount et à l’instar de la série d’origine, la part du lion est réservée à la diversité des minorités majoritaires ou presque… mais ç’aurait pu être pire, je présume, du genre de la série ‘Halo’, ce parangon de merde wokiste, cela va sans dire !
De toute façon, c’est le cadet des soucis de cette série de merde qui réussit à nous abrutir et nous endormir par sa lenteur… hallucinante ! en seulement six épisodes, on aurait pu espérer un minimum de rythme mais que nenni… ça se traîne comme une moitié de zombi mort trois fois et la maladresse de l’ensemble, la pauvreté du scénar sont vraiment consternantes !Norman A Bu est perdu et le reste de la distribution est navrante de nullité à tous les niveaux. Toute cette licence Walking prout est nulle à chier de toute façon, que ce soit les séries, les livres ou les jeux et tutti quanti.